Jose Ignacio Lopez de Arriortua, ou SuperLopez comme il fut surnommé pendant un temps, a défrayé la chronique plusieurs années, au début pour ses performances à General Motors (GM), puis pour le scandale qui a lié GM à Volkswagen dans les années 1990. Petits secrets, trahisons, un nom de super-héros : ce n’est pas de la science-fiction, mais bien un des scandales d’espionnage, qui se solda avec une amende de 100 millions de dollars pour la firme allemande.