La gestuelle du Président de la République devenu autiste et son absence de tracé politique en sont la cause essentielle, et nous ajouterons comme cause aggravante un Premier ministre hémiplégique et droit dans ses bottes en coresponsabilité.
L’Europe, la Mondialisation et l’avenir de la planète sont les ficelles qui expliqueraient les réformes structurelles nécessaires évoquées par nos gouvernants pour promouvoir une France moderne décidée à entrer dans le XXIe siècle. Tout cela ne cacherait-il pas plutôt une prise de pouvoir par une technocratie dont nous devinons les ambitions, qui piétine une démocratie directe dont elle n’a que faire avec la complicité de la démocratie représentative.
Les Français se sentent trahis, ce qui explique leur présence dans la rue avec le soutien des élus locaux, maires des communes rurales, conseillers départementaux, chaque jour confrontés aux problèmes quotidiens des Français avec des moyens que leur rogne le pouvoir central.
Le dernier soutien à un régime qui s’épuise vient de tomber avec le matraquage des petits retraités, et la disparition des classes moyennes, commerçants, artisans, chefs de petites et moyennes entreprises qui sont las de supporter une fiscalité toujours plus forte. La perspective du grand remplacement de l’identité française, avec la refonte de la loi de 1905 sur la Laïcité, au profit sinon d’une religion, mais d’une identité civilisatrice venue d’ailleurs et qui imposerait ses règles de pratiques religieuses, d’hygiène et de pensée sans lien aucun avec notre Histoire et notre culture de Nation chrétienne constitue un réel péril pour la France. Il suffit de lire Éric Zemmour pour en être éclairé.
L’Europe, la Mondialisation et l’avenir de la planète sont les ficelles qui expliqueraient les réformes structurelles nécessaires évoquées par nos gouvernants pour promouvoir une France moderne décidée à entrer dans le XXIe siècle. Tout cela ne cacherait-il pas plutôt une prise de pouvoir par une technocratie dont nous devinons les ambitions, qui piétine une démocratie directe dont elle n’a que faire avec la complicité de la démocratie représentative.
Les Français se sentent trahis, ce qui explique leur présence dans la rue avec le soutien des élus locaux, maires des communes rurales, conseillers départementaux, chaque jour confrontés aux problèmes quotidiens des Français avec des moyens que leur rogne le pouvoir central.
Le dernier soutien à un régime qui s’épuise vient de tomber avec le matraquage des petits retraités, et la disparition des classes moyennes, commerçants, artisans, chefs de petites et moyennes entreprises qui sont las de supporter une fiscalité toujours plus forte. La perspective du grand remplacement de l’identité française, avec la refonte de la loi de 1905 sur la Laïcité, au profit sinon d’une religion, mais d’une identité civilisatrice venue d’ailleurs et qui imposerait ses règles de pratiques religieuses, d’hygiène et de pensée sans lien aucun avec notre Histoire et notre culture de Nation chrétienne constitue un réel péril pour la France. Il suffit de lire Éric Zemmour pour en être éclairé.
Pouvons-nous dire aujourd’hui que l’actualité est préinsurrectionnelle ? L’idée est bien là, puisque s’en prendre aux préfectures qui sont des lieux représentatifs du pouvoir ; certains osant affirmer dans les médias que l’approche du palais présidentiel constituerait une opportunité qui si elle se présentait se réaliserait par l’occupation de ce lieu. Tout semble être permis, s’il ne fallait pas encore signaler la lassitude de nos forces de Police et de Gendarmerie qui réclament ouvertement le renfort de l’Armée.
Il s’agit bien, dans cet état descriptif des événements auxquels nous sommes confrontés, de la Chienlit tant redoutée par le général de Gaulle, et l’annonce du chaos qui s’ensuit.
Essayons-nous, à retrouver nos repères institutionnels, avant qu’il ne soit trop tard et qu’un Zébullon, nous concocte une VIe République en ersatz à ce qui existe, mais n’est pas utilisé.
Les Gaulois ne sont pas ces êtres abrutis par la cervoise et qui vivaient la peur au ventre que le ciel leur tombe sur la tête.
Une fois encore et comme une constante dans l’exercice du pouvoir, depuis 1789, le pays légal est déconnecté du pays réel. Ils ne se parlent pas, au motif d’intérêt divergeant de légitimité toute aristocratique quand le roi a été conduit à l’échafaud.
La crise que nous observons est à la fois politique, économique et sociale, les retards dans les transformations structurelles ne datent pas d’hier, mais du Président Valéry Giscard d’Estaing, autre hémiplégique qui n’a pas fait les bons choix et dont les mesures sociales ont contribué à la perte des repères qui faisaient l’identité française au profit d’une idée fédérale de l’Europe dans laquelle il a entraîné les derniers gaullistes.
Aujourd’hui, comment sortir de cette Chienlit ? Bien évidemment en redonnant au peuple souverain le suffrage qu’il réclame. Le Président, son Premier ministre ont trop attendu. Des diversions, des suspensions, sont ressenties par les Français comme autant de manipulations. Il faut trancher, vite et fermement. La dissolution de l’Assemblée nationale s’impose, avec la constitution d’un nouveau gouvernement qui saura mener un projet de société incluant tous les sujets qui fâchent, après les concertations d’usage, ce projet sera soumis par référendum aux Français avec l’implication directe du Président de la République, le résultat décidera de son avenir à la tête de l’État. Il se soumettra ou il se démettra.
Les Français ont besoin de renouer avec la confiance de leurs gouvernants.
Il s’agit bien, dans cet état descriptif des événements auxquels nous sommes confrontés, de la Chienlit tant redoutée par le général de Gaulle, et l’annonce du chaos qui s’ensuit.
Essayons-nous, à retrouver nos repères institutionnels, avant qu’il ne soit trop tard et qu’un Zébullon, nous concocte une VIe République en ersatz à ce qui existe, mais n’est pas utilisé.
Les Gaulois ne sont pas ces êtres abrutis par la cervoise et qui vivaient la peur au ventre que le ciel leur tombe sur la tête.
Une fois encore et comme une constante dans l’exercice du pouvoir, depuis 1789, le pays légal est déconnecté du pays réel. Ils ne se parlent pas, au motif d’intérêt divergeant de légitimité toute aristocratique quand le roi a été conduit à l’échafaud.
La crise que nous observons est à la fois politique, économique et sociale, les retards dans les transformations structurelles ne datent pas d’hier, mais du Président Valéry Giscard d’Estaing, autre hémiplégique qui n’a pas fait les bons choix et dont les mesures sociales ont contribué à la perte des repères qui faisaient l’identité française au profit d’une idée fédérale de l’Europe dans laquelle il a entraîné les derniers gaullistes.
Aujourd’hui, comment sortir de cette Chienlit ? Bien évidemment en redonnant au peuple souverain le suffrage qu’il réclame. Le Président, son Premier ministre ont trop attendu. Des diversions, des suspensions, sont ressenties par les Français comme autant de manipulations. Il faut trancher, vite et fermement. La dissolution de l’Assemblée nationale s’impose, avec la constitution d’un nouveau gouvernement qui saura mener un projet de société incluant tous les sujets qui fâchent, après les concertations d’usage, ce projet sera soumis par référendum aux Français avec l’implication directe du Président de la République, le résultat décidera de son avenir à la tête de l’État. Il se soumettra ou il se démettra.
Les Français ont besoin de renouer avec la confiance de leurs gouvernants.
Le Général de Gaulle, alors Président de la République, a cru bon, dans une situation similaire de soumettre son projet à l’agrément des Français, par la voie référendaire le 27 avril 1969. Le résultat obtenu ne lui donnant pas la satisfaction espérée, il en a tiré les conséquences en démissionnant immédiatement de sa fonction, sans état d’âme. Il est vrai que les Présidents qui lui ont succédé ont toujours eu quelque appréhension dans l’usage du Référendum quand ils n’en ont pas fait un moyen de manipuler les opinions.
La confiance des Français ne se décrète pas, elle se mérite, c’est ce que nous a légué le général de Gaulle dans la Constitution de la Ve République et particulièrement dans l’élection du Président, au suffrage universel direct créant ainsi une légitimité nouvelle sans partage, mais combien souveraine.
La confiance des Français ne se décrète pas, elle se mérite, c’est ce que nous a légué le général de Gaulle dans la Constitution de la Ve République et particulièrement dans l’élection du Président, au suffrage universel direct créant ainsi une légitimité nouvelle sans partage, mais combien souveraine.