Opération Rising Lion : Cibles et objectifs déclarés
D’après une déclaration officielle de l’armée israélienne citée par Le Parisien, l’opération a été déclenchée dans un contexte de « menace imminente ». Elle a visé plusieurs installations, dont le site nucléaire de Natanz, explicitement mentionné comme cible par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Le chef du gouvernement a précisé que « la première phase de l’opération est terminée » mais que celle-ci « se poursuivra aussi longtemps que nécessaire ».
France 24 confirme que des infrastructures militaires et nucléaires ont été prises pour cibles. Les frappes ont touché plusieurs secteurs, dont Téhéran, Ispahan, et les environs de Natanz.
France 24 confirme que des infrastructures militaires et nucléaires ont été prises pour cibles. Les frappes ont touché plusieurs secteurs, dont Téhéran, Ispahan, et les environs de Natanz.
Plusieurs responsables militaires tués
Selon Le Parisien, citant les agences de presse iraniennes Mehr et Tasnim, Hossein Salami, commandant en chef des Gardiens de la Révolution islamique, aurait été tué. L’information n’a pas été confirmée par le gouvernement iranien.
RTL ajoute qu’un responsable israélien affirme que le général Mohammad Bagheri, chef d’état-major iranien, pourrait également avoir été tué. Cette information n’a pas été confirmée par des sources iraniennes. L’agence Irna signale, de son côté, que des frappes ont touché des zones résidentielles à Téhéran, faisant plusieurs dizaines de victimes civiles.
RTL ajoute qu’un responsable israélien affirme que le général Mohammad Bagheri, chef d’état-major iranien, pourrait également avoir été tué. Cette information n’a pas été confirmée par des sources iraniennes. L’agence Irna signale, de son côté, que des frappes ont touché des zones résidentielles à Téhéran, faisant plusieurs dizaines de victimes civiles.
Conséquences immédiates et mesures de sécurité
Le ministre israélien de la Défense Israël Katz a déclaré l’état d’urgence sur l’ensemble du territoire israélien, selon France 24. Cette décision a été justifiée par la crainte d’une attaque imminente par drones ou missiles en provenance d’Iran ou de groupes alliés dans la région.
La nature coordonnée de l’opération, ainsi que la fermeture d’espaces aériens civils en Iran et en Irak, indique une planification opérationnelle structurée, mais aucun détail technique n’a été rendu public sur les modalités précises de l’engagement.
La nature coordonnée de l’opération, ainsi que la fermeture d’espaces aériens civils en Iran et en Irak, indique une planification opérationnelle structurée, mais aucun détail technique n’a été rendu public sur les modalités précises de l’engagement.