Une sollicitation officielle confirmée : Renault en discussion avec l’Ukraine
Selon les informations publiées le 8 juin 2025 par Franceinfo, Le Figaro et Huffington Post, le gouvernement ukrainien a officiellement contacté Renault pour envisager sa participation à un projet de production de drones sur le territoire ukrainien.
Franceinfo précise : « Renault a été contacté par le gouvernement pour produire des drones en Ukraine. » Le Huffington Post ajoute que cette sollicitation se fait « dans le cadre d’un projet inédit de fabrication de drones militaires en Ukraine », en soulignant que le constructeur n’a pas encore confirmé son engagement concret. À ce jour, Renault n’a publié aucun communiqué officiel, et les informations disponibles proviennent exclusivement de sources gouvernementales ou de fuites rapportées par la presse.
Franceinfo précise : « Renault a été contacté par le gouvernement pour produire des drones en Ukraine. » Le Huffington Post ajoute que cette sollicitation se fait « dans le cadre d’un projet inédit de fabrication de drones militaires en Ukraine », en soulignant que le constructeur n’a pas encore confirmé son engagement concret. À ce jour, Renault n’a publié aucun communiqué officiel, et les informations disponibles proviennent exclusivement de sources gouvernementales ou de fuites rapportées par la presse.
Une initiative soutenue par Paris : l’ombre du ministère des Armées
Selon les révélations de Franceinfo, cette initiative bénéficie de l’appui des autorités françaises, notamment du ministère des Armées, qui aurait agi comme facilitateur entre les deux pays. Une source anonyme citée dans l’article indique : « L’idée est de mobiliser des industriels français dans une logique de soutien logistique à l’effort de guerre ukrainien. »
Le Huffington Post parle également d’un soutien stratégique implicite de l’État français, sans toutefois apporter de détails sur les modalités précises. Aucune déclaration officielle du ministère des Armées n’a pour l’instant été publiée.
Le Huffington Post parle également d’un soutien stratégique implicite de l’État français, sans toutefois apporter de détails sur les modalités précises. Aucune déclaration officielle du ministère des Armées n’a pour l’instant été publiée.
Un projet encore non formalisé : Renault ne confirme ni ne dément
Le caractère encore flou du dossier est unanimement souligné dans les sources disponibles. Le Figaro indique : « Le constructeur ne souhaite pas commenter pour l’instant. » La prudence de Renault s’explique par l’absence de protocole signé ou de décision industrielle formalisée.
La dimension géopolitique du dossier, la localisation du projet dans une zone en guerre, et les éventuelles implications juridiques semblent imposer une extrême réserve à tous les niveaux. En l’état, aucune date, aucun site, ni aucune spécification technique ne sont confirmés.
La dimension géopolitique du dossier, la localisation du projet dans une zone en guerre, et les éventuelles implications juridiques semblent imposer une extrême réserve à tous les niveaux. En l’état, aucune date, aucun site, ni aucune spécification technique ne sont confirmés.
Fabrication de drones : une volonté de relocalisation industrielle en Ukraine
D’après Centre Presse Aveyron, cette proposition s’inscrit dans une dynamique plus large de relocalisation industrielle. Le média cite une volonté de créer des chaînes de production sur le territoire ukrainien, dans le cadre d’un effort d’autonomisation défensive. L’article évoque aussi la possibilité d’« un partenariat inédit entre des entreprises françaises et les autorités ukrainiennes. »
L’éventuelle implication de Renault dans la production de drones en Ukraine, si elle se confirme, constituerait une inflexion majeure dans la trajectoire industrielle du groupe, historiquement cantonné au secteur automobile. Mais à ce stade, l’information se résume à une prise de contact initiée par Kiev, et relayée par Paris.
L’éventuelle implication de Renault dans la production de drones en Ukraine, si elle se confirme, constituerait une inflexion majeure dans la trajectoire industrielle du groupe, historiquement cantonné au secteur automobile. Mais à ce stade, l’information se résume à une prise de contact initiée par Kiev, et relayée par Paris.